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PhotosDDM, Xavier Hurtevent. l'essentiel Une vingtaine de gendarmes, en amont des "runs" dĂ©ferlant chaque vendredi au bout de la Dansma tĂȘte un rond-point. Un Long-mĂ©trage de Hassen Ferhani. Produit par Centrale Électrique. Sortie en France : 24/02/2016. Synopsis . Dans le plus grand abattoir d'Alger des hommes vivent et travaillent Ă  huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. L’espoir, l’amertume, l’amour, le paradis et l’enfer, le football se racontent comme des HassenFerhani est nĂ© Ă  Alger en 1986. En 2006, il rĂ©alise son premier court mĂ©trage Les Baies d’Alger.Puis trois courts documentaires, Le Vol du 140 (2008), Afric Hotel (corĂ©alisĂ© avec Nabil Djedouani) en 2010 et Tarzan, Don Quichotte et nous.Dans ma tĂȘte un rond-point est son premier long mĂ©trage. 14 SĂ©bastien Freund. Photo La Semaine. Il rĂȘvait de reprendre Le Cheval d’Or, l’établissement tenu Ă  Gravelotte par son pĂšre, Ă  l’origine de sa vocation. La naissance de son fils en a dĂ©cidĂ© autrement. BientĂŽt vingt ans plus tard, SĂ©bastien Freund renoue avec la cuisine, Ă  la tĂȘte de sa toute premiĂšre affaire au cƓur du Émissioncréée par François Angelier sur France Culture, Mauvais Genres, c'est aussi depuis 2012, un festival annuel dĂ©diĂ© Ă  l’actualitĂ© du mauvais genre, polars, Ă©rotisme, horreur, science-fiction.Au programme de ces deux jours : rencontres, Ă©missions imaginĂ©es par France Culture, prix littĂ©raire et fictions produites par le Théùtre du Rond-Point. Site De Rencontre Pour Le Monde Entier. Documentaire de Hassen Ferhani 1 h 40 min 24 fĂ©vrier 2016 FrancePays d'origine AlgĂ©rie, FranceCasting complet et fiche techniqueDans le plus grand abattoir d’Alger, des hommes vivent et travaillent Ă  huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. L’espoir, l’amertume, l’amour, le paradis et l’enfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde. 9johrzCritique positive la plus apprĂ©ciĂ©eCritique de par johrzCe film est magnifique, tant dans son propos que dans sa forme. Plus que l'histoire ou la prĂ©sentation d'un abattoir, c'est l'histoire d'hommes qui nous sont racontĂ©es ici. D'hommes de tout ages, du...Lire la critique10"On ne ment pas, mais on ne tombe pas dans la vĂ©ritĂ©"Tellement d’écho pour un rond-point dans une tĂȘte, une phrase typiquement AlgĂ©rienne, d’un film qui s’annonce AlgĂ©rien, avec une mentalitĂ© d’ALGERIEN. C’est bien l’annonce faite pour ce film qui...Lire la critique8Dans l'intimitĂ© des abattoirsDans ma tĂȘte un rond-point, documentaire de l'AlgĂ©rien Hassen Ferhani. Une plongĂ©e, une immersion totale, dans le quotidien des abattoirs d'Alger. Un film qui navigue, par la grĂące des travailleurs,...Lire la critiqueRecommandĂ©esPositivesNĂ©gativesRĂ©centes Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret PokĂ©mon Go Collection ... € Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez Aller Ă  la page 1, 2 AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet CoincĂ©s... [TerminĂ©] Sam 9 Oct - 2111 Ca fait maintenant quelques jours qu'il a repris le chemin du travail et le voilĂ  plus motivĂ© que jamais... Tellement motivĂ© qu'il reste le plus tard possible dans l'universitĂ©. Parfois, il reçoit des messages de Gianna, des appels auxquels il rĂ©pond ; elle s'inquiĂšte de ne pas le voir rentrer, mais il n'y a pas de quoi. Ce n'est pas comme s'il Ă©tait dans un bar... Du moins, pas pour le moment, puisque c'est bien ce qu'il compte faire en sortant de l'Ă©tablissement, juste dans l'objectif de se dĂ©fouler un peu dessus, d'oublier, de ne penser Ă  plus rien d'autre qu'Ă  l'alcool qu'il boit. Seulement, quand il boit, il devient quelqu'un d'autre que lui-mĂȘme et ça entraĂźne des choses qu'il regrette le lendemain ; soit des bagarres, soit des relations d'un soir... Etant cĂ©libataire, il a parfois besoin d' est 17 heures et son dernier cours vient de se terminer. Les Ă©tudiants sortent, le remercie. Certains restent Ă  la fin du cours pour discuter de points intĂ©ressants, ou pour poser des questions. Ils restent environ 15 minutes Ă  discuter, puis les Ă©tudiants repartent, contents, ce qui lui dĂ©croche un sourire ; c'est ce qu'il aime le plus. Aider, apprendre ! Et encore plus lorsqu'on s'intĂ©resse rĂ©ellement Ă  sa matiĂšre ; l' geste vif, il attrape sa veste noire qu'il met par-dessus son tee-shirt prĂšs du corps de la mĂȘme couleur. Elle arrive Ă  la ceinture noire qui entoure son jean. Luke prend ses affaires et erre dans les couloirs, s'apprĂȘtant Ă  quitter les lieux. Seulement, en passant devant la bibliothĂšque, il s'arrĂȘte et finit par entrer. L'homme se permet d'errer dans les rayons, observer celui qui concerne l'art, puis attrape un bouquin qu'il commence Ă  lire. Au bout de dix minutes, le professeur s'adosse contre l'Ă©tagĂšre, lĂąche sa sacoche au sol et tourne les seulement arrivĂ© Ă  l'avant derniĂšre page du livre qu'il lĂšve la tĂȘte ; un bruit vient d'attirer son attention et surtout, les lumiĂšres qui se sont Ă©teintes. Son coeur commence Ă  faire quelques bons, puis il reprend ses affaires, garde le livre en main et se dirige vers la porte qu'il tente d'ouvrir, en vain. Elle est sa soirĂ©e ne se passera pas dans un bar...DerniĂšre Ă©dition par Luke West le Lun 11 Oct - 1856, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Sam 9 Oct - 2224 Depuis la rentrĂ©e je n'arrĂȘtais plus, entre les cours plus soutenus oĂč il nous fallait apprendre une quantitĂ© abominable de noms.. Vous saviez, vous que le squelette du corps humain est composĂ© de 214 os ? Non, moi si... Et je dois tous les connaĂźtre, leurs noms, plus tordus les uns que les autres alors que je reste persuadĂ©e que ça ne me servira strictement Ă  rien en pratique. Enfin, Ă  part Ă  obtenir mon annĂ©e certainement. Depuis, je doute, je ne suis plus certaine d'avoir choisit la bonne voie, peut-ĂȘtre suis-je entrain de perdre mon temps... Les cours thĂ©oriques ne m'ont jamais autant ennuyĂ© mĂȘme si la pratique me plait, oui mais... Je n'Ă©tais plus vraiment sur de rien en ce moment, et ça valait pour tout. Depuis le dĂ©part de Matt, depuis son retour, j'ai la facheuse manie Ă  tout vouloir remettre en doute. Lui, surtout. Nous n'Ă©tions pas passĂ© loin de la rupture ce soir lĂ  et comprenais jour aprĂšs jour, que je ne lui faisais plus totalement confiance, persuadĂ©e qu'il finirait par partir de nouveau. Et... je n'en serai mĂȘme pas surprise. Je suis en attente, et je ne sais pas quoi faire. Je l'Ă©vitais simplement pour ne pas voir son air coupable et supliant qu'il avait depuis son retour. Pour ne pas culpabiliser moi-mĂȘme de ne plus vraiment ĂȘtre la mĂȘme, de ne pas lui donner tout ce qu'il veut. Encore ce matin j'avais attendu qu'il parte de l'appartement pour me lever Ă  mon tour, j'avais totalement ignorĂ© ses gestes tendres pour me persuader Ă  me lever, faisant mine d'avoir encore besoin de dormir. L'appartement pour moi et reprenant possession de ce qui Ă©tait Ă  la base ma chambre, j'avais du me dĂ©pĂȘcher de me doucher pour me souvenir devant mon armoire que j'aurais du faire une lessive depuis au moins deux jours. Il ne me restait rien Ă  me mettre si ce n'est ces bouts de tissu que je ne m'Ă©tais que rarement... Des robes. J'avais baissĂ© les armes pour ne pas me rendre plus en retard que je ne l'Ă©tais dĂ©jĂ . J'avais optĂ© pour la plus simple de toutes, en coton Ă  carreaux gris et bleu foncĂ© m'arrivant Ă  quelques centimĂštres au dessus des genoux et aux manches trois quart. Ce qui voulait aussi dire porter mes bottes plates grise foncĂ©es et non pas mes usuelles converses... La journĂ©e commençait mal, j'en Ă©tais persuadĂ©e mais j'Ă©tais loin, vraiment loin d'imaginer que je me retrouverai bloquĂ©e ici... Il est vingt heures et la bibliothĂšque universitaire dans laquelle je me trouve vient d'Ă©teindre ses lumiĂšres et de fermer la porte. J'avais passĂ© les deux derniĂšres Ă  Ă©tudier... Ou bien Ă  essayer puisqu'au bout d'un moment, lasse, j'avais cĂ©dĂ© et pris mon ipod. J'avais l'intention de faire une pause de vingt minutes, rien de plus. Ouais... Deux minutes plus tĂŽt j'avais relevĂ© la tĂȘte de ma table, plongĂ©e dans le noir. Je m'Ă©tais endormie. Sur le coup, je me convainc de ne pas paniquer, qu'il doit encore certainement y avoir quelqu'un dans les parages alors je me lĂšve, attrape ma veste et range rapidement mes livres dans mon sac avant de courir vers l'entrĂ©e oĂč je vois un homme, un Ă©tudiant que je ne connais probablement pas tenter de l'ouvrir. Je dis bien tenter puisque vu son acharnement, elles doivent ĂȘtre belles et bien verrouillĂ©es. Okay, lĂ , je commence Ă  paniquer."Oh non non non, dis moi que tu fais semblant de te battre avec ces portes et qu'elle ne sont pas vraiment fermĂ©es."Je sais pourtant qu'elles le sont mais ne peux m'empĂȘcher d'espĂ©rer l'inverse. Je baisse ensuite la tĂȘte pour fouiller dans mon sac. OĂč est ce foutu portable ? DerniĂšre Ă©dition par Tyra J. Hunter le Mar 12 Oct - 030, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Sam 9 Oct - 2244 L'acharnement, il n'y a que ça de vrai. Luke n'abandonne pas et tente d'ouvrir les portes, en vain. C'est fermĂ©. L'homme s'apprĂȘte donc Ă  laisser tomber et Ă  chercher son portable dans sa sacoche, mais une voix l'interpelle. Une voix qu'il connait trĂšs bien, d'ailleurs. Il tourne la tĂȘte vers la jeune fille qui lui parle et laisse un soupir s'Ă©chapper d'entre ses lĂšvres, avant de faire une remarque, sans rĂ©flĂ©chir un instant au fait que ça peut la blesser ; parfois, il dit des choses, il en fait d'autres, sans s'interroger. Ca le perdra."Evidemment, fallait que je tombe sur toi !" S'exclame-t-il, en haussant les Ă©paules, Ă©nervĂ©. "Tu me suis c'est ça ? Super."Stupide rĂ©action, stupide remarque, mais il n'a pas rĂ©flĂ©chi. L'homme lui lance un regard agacĂ©, alors qu'elle ne lui a rien fait du tout ! C'est peut-ĂȘtre finalement la rĂ©action de quelqu'un qui aurait aimĂ© l'Ă©viter encore un moment et qui n'a pas rĂ©ussi Ă  le faire. L'universitĂ© est plutĂŽt grande ! Il y a dix milles piĂšces et il a fallu qu'ils se croisent Ă  nouveau. AprĂšs cette remarque dĂ©sagrĂ©able, Luke ne peut se retenir de la reluquer, de laisser descendre ses yeux sur la tenue qu'elle porte. Elle est trĂšs belle, vraiment. Surtout avec cette robe qui la met en valeur, elle, et ses jambes, aussi ! En s'apercevant de ce qu'il est en train de faire, le professeur ferme les yeux afin de reprendre ses esprits et jette un coup d'oeil dans sa sacoche, cherchant son portable..."Fais chier, putain ! ><"Nerveux, il se frotte la nuque. Le professeur ne sait pas comment s'en sortir, ni quoi dire, Ă  part s'enfoncer dans ce mensonge. C'est un bon acteur, il pourrait faire ça, seulement, lui mentir, Ă  elle, c'est extrĂȘmement difficile. Auparavant, lors des deux ans oĂč ils se sont frĂ©quentĂ©s, jamais il ne lui a menti, pas une seule fois. Concernant son passĂ©, elle sait tout de lui, Luke ne lui a jamais rien cachĂ©, ni mĂȘme par rapport Ă  ses sentiments qu'il n'aime habituellement pas dĂ©voiler. Par fiertĂ©, mais aussi pour se prĂ©server. Avec Tyra, Luke s'est complĂštement laissĂ© aller. Une confiance s'est installĂ©e rapidement entre eux."Pourquoi tu rĂ©ponds toujours Ă  mes questions par d'autres questions ?"Alors que de son cĂŽtĂ©, c'est un peu beaucoup la mĂȘme chose... Mais il faut bien dire quelque chose pour Ă©viter, Ă  nouveau, cette interrogation dĂ©licate."Non ! Non, je ne t'ai pas oubliĂ©e. Tu as fait partie de ma vie pendant deux ans, on avait des projets ensemble, beaucoup, et c'Ă©tait... trĂšs fort, entre nous. Ce genre de relation ne s'oublie pas."RĂ©pond-il, le coeur lourd, mais la voix posĂ©e et l'air sĂ©rieux. Il est hors de question qu'elle mette le doigt sur une faille aprĂšs ce qu'il vient de dire. C'est un homme, Luke doit se montrer fort ! Son pĂšre lui a toujours dit cette rĂšgle ; ĂȘtre un homme, ce n'est pas simple. C'est lui qui lui a fait comprendre qu'il ne fallait jamais verser de larmes... Et jusque lĂ , il n'en a jamais versĂ©es devant personne. Luke prĂ©fĂ©rait attendre qu'il soit seul pour ça. Pourtant, Ă  l'instant, ses yeux deviennent brillants ; un nouveau sujet dĂ©licat est abordĂ©."Je ne sais pas. J'ai hĂ©sitĂ©, je ne l'ai pas fait."A ce jour, c'est certainement la chose qu'il regrette le plus. L'homme, plus fort que jamais, ajoute quelques mots qu'il n'aurait jamais voulu redire."Notre relation est terminĂ©e, ne revenons plus dessus."D'un geste lent, il attrape la chaĂźne qu'il a autour du cou et la retire. A ce moment-lĂ , il sent son coeur se briser en mille morceaux. Tout s'Ă©croule, mais il tient bon. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Dim 10 Oct - 2349 Un match verbale de tennis, on se revoit les questions, plus ou moins les mĂȘmes sans oser nous donner de rĂ©elles rĂ©ponses. VoilĂ  la diffĂ©rence avec avant. Avant, nous aurions rĂ©pondu simplement, honnĂȘtement, sans tourner autour du pot pendant trois heures, sans aucune gĂȘne et sans aucun regret. Il n'aurait pas hĂ©sitĂ©, n'aurait pas placĂ© sa main sur sa nuque, n'aurait pas tentĂ© de rĂ©pondre sans vraiment penser ce qu'il dit. Il aime Gianna. Une part de moi n'y croit absolument pas, mais je prĂ©fĂšre m'accrocher Ă  l'autre cĂŽtĂ©. Tant mieux pour lui, aprĂšs tout. "Pour la mĂȘme raison que toi."Clair, prĂ©cis, net. Cette fois je rĂ©ponds sans autres question, au moins une fois alors qu'il admet comme je m'en doutais que lui non plus ne m'avait pas oubliĂ©. Il utilise les mots que je pense, ce qui ne m'Ă©tonne pas. MalgrĂ© ces non dits, nous continuions d'ĂȘtre sur la mĂȘme longueur d'ondes. Peut-ĂȘtre que ça expliquait tous ces clash... Je sais aussi qu'il se modĂšre dans ses propos et je ne peux que comprendre. Deux ans d'une vie. J'hoche la tĂȘte, de nouveau avant de retrouver ses yeux qui me dĂ©chirent le coeur. Mon Ă©go se ratatine et je sens mes propres yeux s'humidifier. J'hĂ©site et serre la mĂąchoire parce que je ne l'ai jamais vu dans cet Ă©tat, mĂȘme quand nous nous Ă©tions quittĂ©s. Il a hĂ©sitĂ©. Je ferme les yeux et me revoit en bas de chez lui, prĂȘte Ă  sonner pour finalement me raviser et continuer ma route piteuse. Six mois, il m'a fallut six mois pour m'empĂȘcher de ne plus aller lĂ -bas. Les mots qui suivent me font mal, vraiment. Sur le coup je me demande si je n'ai pas rĂȘvĂ©, que ce n'est qu'un souvenir qui s'est imposĂ© Ă  moi mais non... Il lĂšve les mains et enlĂšve la chaine, accentuant le geste avec cette foutues phrases que je n'aurais jamais cru rĂ©entendre. Tout comme je croyais ne plus le revoir. Une nouvelle rupture, j'avais raison. Je baisse la tĂȘte en clignant des yeux, je serre les dents du mieux possible, je refuse de craquer devant lui. Nous n'avions plus Ă  revenir dessus. Mon coeur se brise de nouveau. Je lĂšve le bras et enlĂšve ma propre chaine que je lui tend, les yeux toujours rivĂ©s sur mes bottes. "Tiens."C'est la seule chose qui sort de ma bouche, tellement bas que je ne suis pas certaine qu'il ait entendu mais tant pis, le geste est assez significatif pour qu'il comprenne. Je n'ose pas parler, je veux juste qu'il prenne cette foutue bague. J'ai beau clignĂ© des yeux, cette fichue larme rĂ©ussit quand mĂȘme Ă  couler sur ma joue avant de s'Ă©craser au sol. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Lun 11 Oct - 011 Et voilĂ , leur relation se termine une nouvelle fois, mais cette fois-ci, dĂ©finitivement. La chaĂźne de Luke n'est plus Ă  son cou et la jeune fille retire, Ă  son tour, celle qu'elle a autour de son cou pour la lui tendre. HĂ©sitant, le professeur reste bien une minute sans oser faire un seul geste. Et puis, finalement, il pose sa chaĂźne dans sa main libre et prend celle qu'elle lui tend. Ca y'est, c'est vraiment la fin, ils se sont libĂ©rĂ©s tous les deux... Ca devrait le soulager, dans un sens, parce que ça lui permet justement de rĂ©ellement passer Ă  autre chose, de tourner la page. Seulement, il n'en est pas du tout ravi. Comment tourner une si belle page de sa vie ? Pourquoi se dire qu'il pourrait avancer avec une autre personne, si celle qu'il a devant lui est justement celle dont il a besoin ? C'est comme passer du soleil Ă  un nuage gris ; le nuage gris ne sera jamais mieux que le soleil, parce que celui-ci ne vous apportera aucun rayon lumineux dans votre vie, mais plutĂŽt une pluie plus ou moins l'observant, il aperçoit une petite larme perler sur le long de sa joue et atterrir sur le sol. Une larme qu'il n'aurait jamais voulu voir rouler par sa faute. Au contraire ! Il s'est toujours jurĂ© de lui donner le sourire, plutĂŽt que de lui donner de la peine. C'est un vĂ©ritable Ă©chec. Et il se doute bien que cet Ă©chec ne commence pas aujourd'hui, mais a sans doute dĂ©butĂ© il y a plusieurs annĂ©es, Ă  leur premiĂšre entrouvre la bouche, dans le but de lui dire un mot rĂ©confortant, ne supportant pas de la voir dans cet Ă©tat, mais finit par la fermer ; parfois, il y a des mots qui ne peuvent rien y faire. En revanche, il y a un autre moyen qu'il connait trĂšs bien. Peut-ĂȘtre ne devrait-il pas y penser, encore moins l'utiliser pour agir, mais son attachement pour elle est beaucoup trop forte."Tyra..."Souffle-t-il, dans un murmure Ă  peine audible, tout en se rapprochant d'elle. Il pose ses mains sur ses Ă©paules, l'attire tout contre lui et referme ses bras autour de sa silhouette. De lĂ , l'Ă©tudiante peut sentir son coeur qui bĂąt la chamade. Il bĂąt fort parce qu'il est dingue de cette femme qu'il tient dans les bras, qu'il essaie de rĂ©conforter en caressant doucement son dos. Il bĂąt fort pour cette femme qui n'est plus la sienne. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Lun 11 Oct - 054 Une rupture, c'est plonger dans le vide. Je plonge dans le vide une deuxiĂšme fois et c'en est trop douloureux parce que je ne pensais plus jamais revivre ça. MĂȘme la fuite de Matt qui m'avait plongĂ© dans un Ă©tat lĂ©thargique n'avait pas Ă©tĂ© si... intense. Mais tout avait toujours Ă©tĂ© intense avec Luke, depuis le dĂ©but, que ce soit notre rencontre, mon acharnement Ă  vouloir faire du théùtre juste pour lui, Ă  apprendre chaque scĂšne par coeur, ses prĂ©fĂ©rĂ©es toujours, ses sourires... ses mots, puis ses gestes, sa douceur, sa protection, sa force, son assurance, son humour, son sĂ©rieux, son amour, son sens sa main qui met au creux de ma paume, sa chaine, je sens ce cadenas qui pĂšse et la seule pensĂ©e que j'ai c'est... Est-ce que tu te sens plus lĂ©gĂ© maintenant, ou bien est-ce que cette lĂ©gĂšretĂ© te pĂšse ? Puis la chaine que je tenais du bout des doigts finit par m'Ă©chapper. Moi cette lĂ©gĂšretĂ© me pĂšse. Je ferme ma main contre ce cadenas puisque c'est la seule chose qu'il me reste. Deux ans, et je pleure lĂąchement devant lui maintenant alors que mĂȘme Ă  l'Ă©poque j'avais attendu de ne plus l'avoir devant moi ? Oui mais deux ans, c'est long, deux ans de ressentis refoulĂ©s, ça aussi c'est long. C'Ă©tait fait, je devrais bouger, tourner les talons, l'endroit Ă©tait vaste pour nous Ă©viter jusqu'Ă  ce que l'on remarque notre absence ou bien jusqu'Ă  demain matin... Sauf que je ne fais rien, je ne bouge pas et l'entends murmurer mon prĂ©nom, et ça, c'est encore plus douloureux. Puis je sens ses mains sur mes Ă©paules qui m'empĂȘchent de partir, si je m'Ă©tais dĂ©cidĂ©e... Il finit par passer ses bras autour de moi et je me laisse aller contre son torse, tĂȘte contre son coeur que j'entends battre, trop vite. Le mien, il s'arrĂȘte. Et repart, en milles morceaux. Alors je m'accroche et l'enlace Ă  mon tour. Je me laisse et le laisse me calmer jusqu'Ă  ce que mes yeux veuillent bien arrĂȘter de couler. J'essaye de ne penser Ă  rien, puis finalement brise notre contact, en ayant bien conscience que c'est la derniĂšre fois. La vrai, qu'il n'y aura plus d'autres occasion. Mon coeur se serre de nouveau. J'Ă©vite toujours son regard alors que je le contourne pour attraper mon sac oĂč je range soigneusement sa chaine. VoilĂ , c'est vraiment finit. La place du vide. J'inspire profondĂ©ment et me relĂšve, me retourne. Je veux parler, lui dire que c'est mieux ainsi, ma bouche s'ouvre mais aucun son ne sort. Alors je secoue la tĂȘte, las, et prend la direction des toilettes. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Lun 11 Oct - 125 Un silence s'installe et est terriblement pesant, d'autant plus de l'avoir dans ses bras. Luke en profite un peu plus, la serre bien fort. Il enfouit mĂȘme son visage au creux de son cou et respire une derniĂšre fois son odeur fruitĂ©. Ses doigts se crispent sur son dos, par peur qu'elle s'en aille. Luke est incapable de poser des mots sur tout ce qu'il ressent, par fiertĂ©, certes, et c'est stupide, mais ses gestes prouvent bien qu'il est toujours autant attachĂ© et qu'il peine Ă  se sĂ©parer d'elle Ă  quelques minutes, Tyra brise l'Ă©treinte et s'Ă©loigne. Le coeur lourd, Luke la suit du regard et la voit s'Ă©clipser, prendre la direction des toilettes. Il n'aime pas la savoir lĂ -dedans, sans savoir ce qu'elle fait. Si ça se trouve, c'est pour pleurer dans son coin, sans qu'il ne la voie. Ou encore rester seule, tout simplement. Plusieurs fois, le professeur pense Ă  aller la rejoindre pour lui demander si elle se porte bien, mĂȘme si la question serait stupide, et finalement, Ă  chaque fois, il se Luke tourne en rond dans la bibliothĂšque, avec cette chaĂźne qu'il a toujours en main. Celle-ci se referme sur le bijou qu'il serre fort dedans. Comme souvent, lorsqu'il a envie de se dĂ©fouler, et d'un air assez vif, il se rapproche d'un rayon et frappe dessus avec son poing. Jamais une situation lui aura autant Ă©chappĂ©e qu'avec elle. Depuis le dĂ©but. Il y a plusieurs annĂ©es, ça lui a Ă©chappĂ© lorsqu'elle l'a sĂ©duit. Il est tombĂ© trĂšs vite sous son charme et a cĂ©dĂ© Ă  la tentation. Et lĂ , le contrĂŽle lui Ă©chappe Ă  lui faut bien une bonne dizaine de minutes avant de se calmer, au moins un peu. Luke attrape ses affaires et se dirige vers le rayon qui se trouve le plus prĂšs des toilettes. Il s'engouffre dedans, se laisse glisser contre l'Ă©tagĂšre et tend une jambe, appuyant son pied contre le mur d'en face. Sa tĂȘte se penche lĂ©gĂšrement en arriĂšre, ses yeux se ferment doucement...Maintenant, tout ce qu'il attend, c'est qu'elle sorte, bien que l'Ă©puisement commence Ă  se faire sentir. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Lun 11 Oct - 1301 Et mĂȘme la plus lourde des Ă©treintes ne peut empĂȘcher deux ĂȘtre de se sĂ©parer. Il me serre fort, c'est aussi douloureux pour lui que moi, je n'en ai aucun doute et pourtant ça ne change rien. Ou peut-ĂȘtre que cela changeait tout. Je suis Ă  la fois certaine de ce que je peux ressentir, de ses rĂ©actions physique qui me montrent qu'il ressent la mĂȘme chose mais je suis Ă©galement confuse, parce qu'il est lĂ  et que je suis lĂ , que nous venions de rompre une deuxiĂšme fois alors que c'Ă©tait bel et bien finit depuis deux ans. Mais, je ne peux m'empĂȘcher de me demander si, certaines choses ont rĂ©ellement une fin. Notre Ă©treinte a une fin elle, par contre. Je la brise, m'efface et me rĂ©fugie dans ces toilettes oĂč je reste lĂ , plantĂ©e un moment comme par ce que je venais de vivre. Je pourrais mĂȘme me demander si tout s'est rĂ©ellement passĂ© mais la douleur au fond de ma poitrine est la preuve que oui. Je peux encore sentir son parfum bien connu mĂȘme si je ne suis plus dans ses bras. Un souvenir lointain et prĂ©sent Ă  la fois. Je me tourne et pose mes bras sur le lavabo, mon reflet dans le miroir n'est pas beau Ă  voir. J'ai l'impression de fixer l'adolescente que j'Ă©tais. Je soupire avant d'ouvrir le robinet et de me rincer le visage. J'efface toutes les traces physiques de mes larmes, de ma peine. Puis ma main se pose sur mon cou et l'absence de cette chaine me crispe. Tout avait Ă©tĂ© effacĂ©. Je m'interdis de pleurer de nouveau, je me relĂšve, mains sur la tĂȘte et commence Ă  tourner en rond dans cet espace exigu mais ça ne me calme pas, je sens juste la pression revenir et m'assaillir. Alors je sors et apperçois Luke, assit au sol contre une Ă©tagĂšre. Il a les yeux fermĂ©s, ne me voit pas, j'en profite et le regarde un instant. Le voir si las, je crois que ça me... dĂ©tend. Je sens les larmes baisser les armes et partir en arriĂšre. Je ne peux m'empĂȘcher de le trouver beau puis finit par rĂ©agir, depuis quand Ă©tais-je plantĂ©e lĂ  Ă  le regarder ? Il n'avait pas bougĂ© ce qui m'amĂšne Ă  penser qu'il est peut-ĂȘtre endormi. C'est peut-ĂȘtre la meilleure solution oui, dormir et oublier ce que nous venions de vivre. Je me tourne et me dirige vers une table basse oĂč les magazines et journaux d'aujourd'hui sont Ă©talĂ©s. Je laisse tomber mon sac Ă  mes pieds et me laisse glisser contre le mur. Je ferme les yeux et tente de m'endormir, vraiment, mais toutes les images me reviennent en tĂȘte, les si et les peut-ĂȘtre... Me faisant le film d'une autre façon, si je n'avais pas dit telle ou telle chose. Finalement je sens la noirceur me hĂąper et me laisse entrainer dans ses tĂ©nĂ©bres. DerniĂšre Ă©dition par Tyra J. Hunter le Lun 11 Oct - 1403, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Lun 11 Oct - 1401 Luke se bĂąt contre le sommeil et rouvre les yeux quelques fois, pour ne pas s’endormir. Seulement, au bout d’un moment, c’est l’épuisement qui prend le dessus sur l’inquiĂ©tude qu’il ressent de la savoir toute seule, sur le vide qui s’est installĂ© au fond de son cƓur et de tout le reste. Ses yeux se ferment et ne se rouvrent plus. MĂȘme lorsque Tyra sort enfin des toilettes, Luke ne l’entend pas. Il est plongĂ© dans son sommeil ; en mĂȘme temps, avec les heures auxquelles il se couche et Ă  celles oĂč il se lĂšve, il est Ă©vident qu’à un moment, l’homme allait finir par ne plus tenir ce bras tombent le long de son corps, une main tombe au sol et l’autre atterrit sur son jean. Parfois, pendant qu’il dort, sa bouche s’entrouvre pour se refermer et faire une petite grimace qui est peut-ĂȘtre due Ă  un rĂȘve qu’il est en train de faire. RĂȘve qui semble ĂȘtre plus ou moins agrĂ©able, d’aprĂšs les sourires qui se hisse sur son visage. C’est bien dommage qu’il ne se souvienne jamais de ce qui se passe dans sa tĂȘte la nuit. Et ça l’arrangerait bien, pourtant
 Encore plus sur le moment lumiĂšre s’allume, puis une autre. Ce sont les nĂ©ons au plafond. Luke fronce les sourcils, dĂ©rangĂ©, mais ne pense pas tout de suite Ă  se rĂ©veiller, d’autant plus que la position semble encore plus agrĂ©able que la veille. La raison est qu’il tient quelque chose de chaud dans ses bras, ou plutĂŽt, quelqu’un. Le fait de ne pas ĂȘtre seul lui fait du bien ; la solitude a toujours Ă©tĂ© trĂšs pesante Ă  ses yeux et depuis ces derniers jours, ce sentiment de ne pas ĂȘtre entourĂ© est bien souvent ramĂšne la silhouette contre lui et serre ce qu’il tient un peu plus, comme par peur que ça lui Ă©chappe des mains. L’odeur fruitĂ© lui arrive jusqu’au nez, c’est une odeur qu’il aime tout particuliĂšrement et qui lui manque tous les jours. Et c’est justement ça qui le rĂ©veille, peu Ă  peu
 Et au bout de quelques minutes, le professeur ose enfin ouvrir les yeux. Surprise. Quel Ă©tait le pourcentage de rĂ©ussite qu’il se retrouve dans un rayon de la bibliothĂšque, avec Tyra endormie dans les bras ? InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re CoincĂ©s... [TerminĂ©] Lun 11 Oct - 1447 D'autres images me viennent en tĂȘte sans que je ne puisse les contrĂŽler, les arrĂȘter, les retenir, c'est un tourbillon, un ourgan qui m'emporte. Je vois des personnes qui me sont familiĂšres mais qui m'ignorent totalement, je suis invisible et j'ai beau crier de toutes mes forces, ils ne rĂ©agissent pas. Luke me tourne le dos et part enlacer Gianna qui m'offre un sourire de vainqueur. Il semblerait qu'elle, de Hassen Ferhani synopsisDans le plus grand abattoir d'Alger des hommes vivent et travaillent Ă  huis-clos, aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. L’espoir, l’amertume, l’amour, le paradis et l’enfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde. titre international Roundabout in My Headtitre original Fi rassi rond pointpays AlgĂ©rie, France, Liban, Pays-Bas, Qatarvente Ă  l' Ă©tranger Pascale Ramonda ParisannĂ©e 2015genre documentairerĂ©alisation Hassen FerhanidurĂ©e 100'date de sortie FR 24/02/2016directeur de la photo Hassen Ferhanimontage Hassen Ferhani, Narimane Mari, Myriam Aycaguer, Corentin Doucet,producteur Olivier Boischot, Narimane Mariproduction Centrale Ă©lectrique, Allers Retours Films [DZ]distributeurs Les Films de l'Atlante Merci de vous connecter pour accĂ©der aux galeries. Pour mieux protĂ©ger le travail des contributeurs, la consultation des images et vidĂ©os est dĂ©sormais rĂ©servĂ©e aux seuls membres inscrits. L'inscription sur ce portail est totalement de votre comprĂ©hension. Les affiches du film Dans ma tĂȘte un rond-point Les photos du film Dans ma tĂȘte un rond-point Agente entretien maintenance polyvalente en collectivitĂ©Emploi Saint-RĂ©my, 71, SaĂŽne-et-Loire, Bourgogne-Franche-ComtĂ©Missions o En petite maçonnerie construction de muret, pose de massifs en bĂ©ton, rĂ©paration de murs en divers matĂ©riaux prĂ©paration et mise en Ɠuvre du mortier, reprise d'enduits, o En plĂątrerie et peinture pose de cloisons, installation de l'isolant, raccords de plĂątre, rĂ©alisation de saignĂ©es, peinture des surfaces, pose de faĂŻences, o En Ă©lectricitĂ© remplacement d'ampoules, d'un socle de prise de courant, d'un interrupteur, mise hors tension ou sous tension d'un Ă©quipement, intervention sur les tableaux Ă©lectriques, o En plomberie- chauffage entretien des installations sanitaires, remplacement des joints et petits Ă©quipements, rĂ©paration de chasse d'eau, de robinetterie, nettoyage des filtres CTA, des bouches d'aĂ©ration, rĂ©glage de base des chaudiĂšres, o En serrurerie rĂ©glage de fermes portes, travail de petite mĂ©tallerie, entretien et vĂ©rifications des huisseries, des stores, o revĂȘtements de sols pose de sols souples, de carrelage, de parquets flottants, rĂ©alisation de ragrĂ©age, Divers travaux manutention, installation de mobilier, montage de meubles, d'Ă©lĂ©ments de dĂ©corations, rĂ©paration du mobilier urbain bancs, tables, Vous conduisez[...]

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